Par ce tour du
Mont
Blanc en moins de 36h par les sentiers de grande randonnée (140
km, 13000 mètres de dénivelé ; pour information un
randonneur pédestre met environ 7 jours à pied), Thierry
apportera un nouveau style de randonnée sportive d'endurance :
un
compromis entre la marche à pied principalement dans les
montées,
ou dans les zones non autorisée aux cycles, et l'utilisation
d'un
monocycle (plus léger et plus compact que son cousin à
deux
roues) s'avérant plus rapide selon les portions du parcours. Il
réédite l'expérience en 1997 de manière
plus
poussée dans le Tour des Ecrins (160 km, 17500 mètres de
dénivelé, en 60h consécutives, sachant qu'un
randonneur
pédestre réalise cet itinéraire en 12 jours en
moyenne).
Ce type de parcours, effectué dans des conditions très
particulières
(fatigue extrême, en nocturne…), se révèlera
parfaitement
efficace pour parfaire une technique allant à l'essentiel du
monocycle
: économie du geste et efficacité du résultat...
Déjà
on trouve les prémisses d'une "pratique authentique". D'autres
réalisations
du même type seront effectuées, comme la traversée
du Vercors.